Fédération Régionale d’Agriculture Biologique de Nouvelle-Aquitaine

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Les chauves-souris au vignoble, des alliés avérés
Docuthèque

Le rôle des chauves-souris comme auxiliaires de la vigne est souvent mis en avant. L’objectif de l’étude présentée ici est de démontrer la capacité des chauves-souris à consommer des vers de la grappe.

Article paru dans ProfilBio N°10 – Juin 2020

BatViti, les chauves-souris au service du biocontrôle
Docuthèque

Le programme BatViti, démarré en 2016 vise au développement d’une lutte par conservation contre les tordeuses de la grappe en favorisant l’implantation des chauves-souris au sein des vignobles comme auxiliaires de culture.

Article paru dans ProfilBio N°10 – Juin 2020

Biodiversité dans les paysages viticoles de Nouvelle-Aquitaine, un dispositif de recherche-action avec BACCHUS
Docuthèque

Le site atelier BACCHUS est un outil indispensable au développement de l’agroécologie tant en termes de recherche que d’accompagnement des viticulteurs dans la transition agroécologique. Il permettra in fine de progresser sur la conception de systèmes viticoles multiperformants.

Article paru dans ProfilBio N°10 – Juin 2020

Renforcer la biodiversité sur son domaine, un moyen de protéger la vigne des ravageurs ?
Docuthèque

Si la préservation de la biodiversité est devenue une préoccupation majeure pour les pouvoirs politiques et l’opinion publique, la viticulture peut contribuer au retour de ces équilibres et notamment à la préservation des espèces.

Article paru dans ProfilBio N°10 – Juin 2020

La faune auxiliaire, un outil naturel pour la protection du vignoble
Docuthèque

Pour lutter contre les nuisibles des cultures, l’agriculteur doit souvent recourir aux produits phytopharmaceutiques. Pourtant, parmi la faune qui compose la biodiversité présente dans les parcelles, il existe une faune dite ˝ auxiliaire ˝ qui lutte naturellement contre les ravageurs.

Article paru dans ProfilBio N°10 – Juin 2020

Semis direct en bio, utopie ou réalité ?
Docuthèque

L’objectif de cet article est de proposer des pistes de réflexions agronomiques transposables en semis direct bio, c’est-à-dire des techniques sans aucun travail du sol.

Article paru dans ProfilBio N°10 – Juin 2020